En ce qui concerne la vie en entreprise, il semble qu’à partir du moment où l’on travaille pour une entreprise, qu’elle nous rémunère pour ce travail, il faut servir “l’intérêt de l’entreprise” et “ne pas rechercher avant tout son propre intérêt, et ne s’intéresser que de manière facultative à l’intérêt de” l’entreprise (pour reprendre la citation en exergue de l’article).
Par conséquent, il faut essayer de faire soi même du bon boulot, et ne pas avoir l’esprit de “profiteur” qui nous pousse à chercher comment être le mieux rémunéré tout en travaillant le moins possible. On le sait tous, l’entreprise est un extraordinaire lieu de travail sur soi. La salle de sport de l’esprit. Le Pilates de l’âme. Jalousies, rivalités, droits, devoirs, émotions contre raison, tentation de la paresse, voire, de l’infidélité, de la méchanceté, de la revanche, tout y est!
D’ailleurs, avant même de parler d’altruisme, il y a déjà beaucoup de travail pour… faire son travail, et être quelqu’un de droit, tout simplement. Mais même dans ce contexte, je pense que la phrase d’Ostad Elahi qui est mise ici en exergue, va au delà de ce que voulait dire son auteur. Il y manque, à mon avis, le contexte, voire, l’élaboration. Bref, je me méfie des « grandes phrases ». A mon humble avis, il ne faut pas « toujours » donner à autrui la priorité sur son propre intérêt. C’est assez évident. Peut-être l’objet d’un futur article (à moins qu’il en existe déjà un).
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Par : Cogitons
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